Depuis la fin 2010, nos politiques nous vendent le printemps arabe.
Dans leur tactique folle et mal pensée, il avaient la Syrie en ligne de mire depuis longtemps.
Pendant ce temps là, la propagande française se targuait de la victoire sur la Libye et démontrait ainsi leur suprématie (sur les mercenaires africains).
Les politiques se permettaient même de dire que le peuple libyen ne mérite pas d’être secouru car jugés sous évolués.
Les présidents successifs continueront leur épopée africaine pavée de succès et de lauriers.
Poussés par les va-t-en-guerre de l’assemblée et épaulés par le couple américano-israelien (très bien renseignés), ils se sont cru capables de s’imposer en Syrie sans s’impliquer directement.
Sous un prétexte fallacieux et douteux (faire tomber Bachar el-Assad), la distribution de moyens militaires commença, armant ainsi des clans et des factions religieuses plus ou moins sûrs.
La dislocation de l’état syrien conforta leur action.
Financièrement battu par la Russie, notre beau pays n’avait plus comme arme que la propagande et la morale judéo-chrétienne.
Bel exemple de soutien à la Syrie.