Le traumatisme de la peste au moyen-âge influence encore aujourd’hui l’organisation populaire de la pharmacologie.
Le problème est la transposition de la pharmacopée originelle à l’industrie pétrochimique.
Il est aujourd’hui possible de synthétiser n’importe quelle molécule et ainsi proposer des traitements qui peuvent être considérés comme non naturels alors qu’ils ne sont le fruit que d’hypothétiques ambitions marchandes.
Cette dérive scientifique était considérée comme un apport positif pour la science.
De nos jours, nous constatons que le fait de se substituer au vivant nous amène à se détourner sciemment de notre environnement et considérer que la science est supérieure à la nature.
Il est un peu trop facile de produire un médicament dit « miracle » qui fera le job mais sans tenir compte du biotope de la ou les personne(s) traitée(s).
Pourquoi proposer des vaccins contre la COVID, alors que les phases de tests n’ont pas été respectées sinon pour engager un système lucratif de plusieurs milliards de dollars.
Le plus intéressant selon moi, est le fait de proposer une molécule transgénique, alors que les autorités européennes interdisent expressément toute manipulation des génomes pour une utilisation de consommation courante.
Voila pourquoi je préconise une utilisation raisonnée des plantes connues et usées depuis des siècles sachant que le résultat sera conforme à nos standards depuis longtemps établis.