Depuis le scandale Cahuzac, un remaniement du gouvernement s’imposait. Hollande affirmait déjà à l’époque qu’on lui avait imposé Macron. Il serait donc intéressant de savoir qui est ce « on » (certainement un con).
Ce que je reproche le plus à Hollande, ce n’est pas tant sa façon de gouverner mais sa façon de s’exprimer. Il était imbuvable.
Que savons nous sur nos gouvernements et leurs relations avec l’Europe ?
Le problème ne vient pas de Macron et de ses financements douteux mais bel et bien de l’organisation de la politique en Europe.
Nous savons que la finance est plus puissante que les états. La preuve en est que nous, tous les français, offrons de l’argent (40 milliards) à nos grandes entreprises pour pouvoir travailler.
Je ne connais pas la teneur du futur traité franco-allemand qui sera signé bientôt mais il est quand même intriguant de savoir que la capitale de l’Europe est un paradis fiscal.
Ce que je veux dire, c’est que tous ces grands financiers s’affranchissent grâce à l’Europe des règles des différents euro-membres.
Ce nouvel ordre permet donc de recréer une alliance à l’image de l’ancienne noblesse historique européenne.
Je fini donc mon raisonnement sur le fait que Macron n’est que l’instrument d’une politique officieuse. Il nous avait d’ailleurs rappelé que nous faisions parti d’un projet qui nous dépasse.
A l’époque de Mitterrand, nous avions les nouveaux riches, avec Macron, nous avons les nouveaux Nobles.
Bon, maintenant à nous de nous révolter.
[…] toute manière, j’ai déjà largement dénoncé ces postures et j’ai remarqué un effet sur la forme mais certainement pas sur le […]