Depuis notre campagne meurtrie, l’Europe des villes nous parait bien vide de sens.
L’aventureux futur président de l’Europe, le Bel homme comme il se doit, se verrait bien en « gentleman » mais il souffre d’un manque flagrant de liquidités.
En tout cas, pas de quoi se faire anoblir.
En bon anglais, fidèle à sa croix, il aurait pu accéder à ces responsabilités si désirées.
Les anglais sont déjà rompus à la tache et l’éventualité d’une Europe à nouveau réunie leur parait dérisoire.
La leçon qui en découle est rude et sans appel, il aurait du rester à sa place au lieu de briguer des cercles pour lui interdits.
C’est là qu’il retrouve son français fait de promesses, d’échanges d’ail et de persil.
Mais voilà, le mal est fait et en plus mal fait.
Comment passer de l’excès à l’outrance pour justifier son incapacité.
Lui, le grand guerrier qui n’a jamais servi, celui que l’on attend ?
Il faut supporter ces personnages encore et encore sans rechigner.
Ils préfèrent passer à coté d’une Europe bien faite plutôt que de justifier leurs actes.
Ces gens pensent que leurs espérances sont fondées et supérieures à toutes volontés.
Chaque jour qui passe dans cette zone chimérique tend ces personnages vers une doctrine du régicide.
Les habitants tous dépités se demandent comment se débarrasser de tels individus dans le droit et la sagesse.
Mais le pouvoir leur est monté à la tête, ils ne se sentent même plus pisser.
La preuve en est qu’ils ne respectent même plus les résultats législatifs.
Je ne vois pas de gloire dans leur vengeance surtout quand elle est dirigée systématiquement vers les plus faibles.
Comme je dis toujours, pour bien apprendre à tomber, il faut absolument qu’il se mette au judo.
Je pense que cela est sa seule issue.