La rentrée politique nous montre une fois de plus qu’il n’est jamais trop tard pour mal faire.
Nos politiques (et ceux d’outre atlantique) se trompent de voie, mûs par leur orgueil et leur réussite personnelle.
Ce qu’il en résulte et une profonde divergence des idées et des actes où aucun retour à la normale n’est possible.
Le citoyen n’a plus aucune possibilité de choix.
Il votera par défaut pour un candidat qui dans tous les cas ne le représentera jamais.
Le plus criminel dans cette histoire, est le fait que ces personnages nous propulsent dans un avenir à court terme incertain où seuls comptent les préceptes du capitalisme.
En d’autres termes, accentuer les fractures sociales, affamer les populations et si possible déclencher des guerres purgatrices sans toucher aux intérêts des grandes places boursières.
Il suffit de voir Hollande se féliciter de l’augmentation exponentielle des ventes d’armes. Cela en dit beaucoup sur le personnage.
Alors, qu’est ce qui nous reste ?
La promesse de réussite, la religion, ou simplement l’acceptation ?