Nous savons tous que les militaires travaillent sur des planifications stratégiques.
Il existe un manuel pour toutes choses.
Le politique a à sa disposition des informations dont il doit absolument tenir compte.
Un banquier quand à lui ne se soucis guère des plans, il raisonne plutôt en monétaire.
Qu’est ce que cela va nous coûter ?
Sans entrer dans les interprétations psychanalytiques Ferencziennes, il est toutefois envisageable que le mélange militaro-politique ne soit pas compatible avec une construction raisonnable de l’avenir.
Quand on veut jouer la grosse tête, il ne suffit pas d’avoir un joli compte en banque, il faut aussi une solide instruction militaire.
Alors, qui dans le monde peu se targuer de telles qualifications ?
Ils ne sont pas si nombreux et cela constitue un noyau dur qui pourrait être aisément espionné, influencé et même éradiqué.
Quand la force devient une faiblesse.
De Paris à Saint-Pétersbourg, il y a un continent.
De Paris à Lexington, il y a un océan.