Si vous regardez bien la carte de répartition des populations de Nouvelle Calédonie, vous vous apercevrez que le gouvernement actuel nous a fait un « Gaza renversé ».
Comment est-il possible, dans la même semaine, pour la France et les français de dénoncer l’esclavage et se comporter de manière si indigne dans sa politique néocolonialiste ?
Nous voici de nouveau dans la politique du fait accompli.
Le but de l’action est de se targuer de bénéfices records trimestre après trimestre pour les entreprises françaises.
Peu importe si les gens le vivent mal.
Les espèces indigènes susceptibles d’occasionner des dégâts doivent se plier à la politique économique actuelle, dite du « ruissellement ».
L’effort demandé à tous les français doit s’appliquer aussi à ses territoires d’Outre Mer.
Cet état « bananier » se prend pour un paradis fiscal. Rien d’étonnant car tous ses membres y sont domiciliés.
Par définition, l’organisme dont tout ou partie des activités a des effets considérés, par certains acteurs, comme nuisant à la santé publique ou au bon déroulement de certaines activités humaines doit être éradiqué.
Ma position reste ferme et sans ambiguïté.
A chaque fois que les hommes sont intervenus sur les équilibres naturels, une série d’événements désastreux provoque finalement un appauvrissement du système.
Mais ne vous leurrez pas, le but de cette manœuvre est la promesse d’un gain financier rapide et très rémunérateur pour les financiers français.
Je trouve dommage que la vision historique de la France ne dépasse pas le seuil de la banque.