Nous connaissons les capitalistes, grands voleurs parmi les bandits.
Nous connaissons les états, grands dépensiers de notre argent commun.
Nous connaissons les sous états peu scrupuleux, détournant toutes les liquidités qui passent par leur pouvoir confiscatoire.
Nous connaissons les politiques budgétaires régies par tous les états.
Le pouvoir et l’argent ne font pas une politique, surtout au détriment des concitoyens.
Les stratégies misent en œuvre pour détourner des sommes exorbitantes et les énergies dédiées à leur exécution démontre une connivence flagrante entre les pouvoirs des états et les bandits de toutes lignées.
Nous savons que les banques et les autres établissements financiers sont protégés afin de satisfaire leur cohérence et surtout leur train de vie.
La religion est pour eux une justification collaborative et nécessaire au financement du culte.
Le pauvre peuple lié au destin étatique ne voit plus la suprématie de leur destin commun.
Dans cette période trouble et voulue expressément par nos chers dirigeants, nous, petites entités à leurs yeux négligeables, serions prêts à accepter tout ou partie des conditions et ainsi soutenir leurs nouveaux status.
Merde alors, ce n’est plus un retour vers le moyen-âge, mais bel et bien un aller simple pour l’homme des cavernes.
Préparons nous à devoir liquider et supprimer non seulement nos acquis sociaux mais aussi se préparer à subir le détachement de l’état au détriment des peuples.
Quand le bâteau coule, les rats quittent le navire.
A suivre…