Ça pollue à tout va et après il s’en va.
Il faut avoir un sacré sang froid pour travailler dans le Médoc.
Outre le fait que vous y laissez votre santé, la caractéristique première de la clientèle fortunée est de vous faire travailler mais seulement pour trois sous.
Ils ne sont pas contents quand on leur sauve leur comptabilité, ils ne sont pas contents quand tout fonctionne à la perfection.
Ils critiquent votre service alors même qu’ils sont incapables de travailler correctement.
Pire, ils deviennent carrément désagréables quand leur pinard est critiquable.
Dans tous les cas, ils rejettent leur mauvaise gestion sur votre compte.
Le juste prix n’est pas respecté, cela fait trop longtemps que ces gens se foutent de ma gueule.
Travailler dans le Médoc est donc une gageure sans nom.
Ils ne voient que leur intérêt financier et leurs vacances au soleil.
Ça se déplace qu’en avion ou en hélicoptère et ne jurent que par la propriété.
Ils vivent de fonds de pensions et autres joyeusetés financières mais ils sont incapables de faire un vin correct.
Vous n’en avez pas marre de boire de la merde AOC ?
Vous connaissez l’adage « le client décide » ?
Ne vous leurrez pas, c’est juste pour faire porter leur incompétence sur leurs clients soit disant au goûts douteux.
Dans le Médoc, il n’y a plus rien à déguster, seulement des vins « fabriqués » pour la spéculation.
C’est bien beau de vivre à crédit mais le défaut de qualité se paye cash.