Comme des millions de français désabusés par la gestion financière de la France, il nous est maintenant demandé de travailler deux ans de plus pour faire de nouveaux investissements nécessaires au pays (surtout relancer l’industrie militaire).
Ceci est particulièrement choquant et n’augure pas de bonnes perspectives européennes.
Nous savons déjà que nous ne travaillons pas pour la France mais uniquement pour Bruxelles (sauf les militaires).
Pour faire une bonne arnaque, il vaut mieux avancer masqué.
Ce qui me pose problème, ce n’est pas le raisonnement purement boursier de la démarche, mais le fait d’annoncer l’utilisation de nouveaux fonds qui n’existent pas encore pour un financement immédiat.
En d’autres termes, ils ont déjà bouffé la caisse et pour éviter de tout piquer à vos enfants, ils font participer les vieux travailleurs.
Mais d’où vient cette soif d’argent de notre gouvernance ?
Je ne connais personne aussi dépensier pour un résultat si faible (hormis peu être quelques nénettes aux soldes).
Cela sent « la flamme moyenâgeuse » du banquier qui veut se refaire la cerise.
A l’heure où les journalistes s’interrogent, il est vrai que les français attendent une démission présidentielle évidente et irrévocable.
Je pense qu’ils veulent surtout une nouvelle reconnaissance de leur identité au sein d’une Europe qui monte les peuples les uns contre les autres et dilapident les actifs des pays pour le plus grand bénéfice de quelques industriels biens protégés par des militaires nationaux, dévoilant à leur insu une partie du plan machiavélique des instances européennes.
L’avenir va évoluer vers une militarisation accrue du « noyau européen », avec une expansion vers l’Ukraine, au détriment constant des peuples.
Il suffit de regarder les propagandes belliqueuses (LCI) pour se projeter dans un futur qui ne conviendra à personne.
Alors, le gouvernement français pense pouvoir tenir avec un porte avion en carton et quelques munitions.
Bien à vous.