L’aliénation politique à laquelle nous assistons prouve la vision anti-démocratique de la gouvernance actuelle.
Il existe un effet de groupe puissant militaro-financier et malhonnête qui freine délibérément le bon fonctionnement démocratique.
Afin de palier à ce problème, l’historien David Van Reybrouck préconise une démocratie délibérative basée sur le tirage au sort.
L’idée n’est pas si mauvaise et permettrait une sortie rapide et pratique de ces blocages idéologiques.
L’ingérence systématiquement appliquée est navrante et fait référence à la part la plus sombre de notre histoire.
Je pense qu’une grande faiblesse émane de ces prises de positions autoritaires et fait appel une écriture de l’histoire aujourd’hui inacceptable.
Toute cette violence n’est que le résultat de décennies d’actions contre les nations et contre les personnes.
La volonté de ne rien comprendre et de tenter systématiquement un passage en force, est déjà voué à l’échec.
« Quand le bateau coule, les rats quittent le navire ».
Tout cela n’annonce rien de bon sur notre avenir et la panique institutionnelle en est la cause.
C’est comme demander à un voleur de lever un impôt afin de rembourser son préjudice.
Le système politique actuel ne peut plus gérer en toute confiance et en toute honnêteté.
En France, notre président tente désespérément de cacher sa condition en proposant à grands frais des festivités populaires et surtout à sa gloire.
Désespérance narcissique de notre chef de l’état ou simple défiance financière ?
Comme déjà évoqué, le néocolonialisme est le principal symptôme d’une maladie incurable de militaires en mal de distinction et de financiers qui savent déjà que tout cela va leur couter très cher.