La France est mon ennemie.
Après la guerre d’Algérie, après les évènements de mai 68, le gouvernement de droite de l’époque, ainsi que toute la classe politique voulaient à tout prix recouvrer l’autorité morale, religieuse et politique qu’ils avaient perdu.
C’est par les territoires qu’ils comptaient parvenir à leurs fins.
Il n’est pas nécessaire de braquer toute la population, mais simplement de sensibiliser au maximum les jeunes, et par extension leurs parents.
Ils vont donc soutenir plusieurs secteurs porteurs déjà à l’époque comme la télévision ou encore l’écologie.
Après le baby-boom, l’agriculture intensive, la reconstruction du pays et surtout une croissance a toute épreuve, il fallait assurer le décrochage économique dans l’ordre et la discipline ; autrement dit, avec des valeurs qui caractérisent la connerie de nos politiques.
Toujours dans cet esprit de double jeu, la crise pétrolière des années suivantes finira de précipiter l’économie et la société française dans la crise mondiale et organisée.
Résultat des courses, pollutions chimiques non maîtrisées, essais atomiques dispersés aux quatre vents, mais surtout une volonté de domination morale qui reste à mes yeux, le plus grand poison emmenant de ces gens là.
Les années suivantes sont tout aussi édifiantes et des thèmes nouveaux se sont greffés.
Le pire est finalement survenu dans les années 80-90 avec la soit disant libération des jeunes par le capitalisme débridé, en pratiquant le plus terrible chantage que l’on puisse imaginer : faire croire au miracle économique sans jamais donner les moyens financiers.
« Tout pour les juifs, rien pour les goys ! », sur fond d’holocauste et d’antisémitisme.
Ensuite, entre fraudes fiscales, corruptions en tout genre, financement des partis politiques et j’en passe, nous arrivons à la grande arnaque et l’avènement des roitelets à vocation européenne.
Je crois que l’on ne peut pas faire pire.
Ce qu’ils n’ont pas compris, c’est que leur acharnement ne peut conduire à une solution constructive. Tout ce qu’ils ont réussi à faire s’est de servir une chimère idéologique qui n’a plus rien à voir avec la religion ou la morale telle qu’elle a toujours existé.
A ce stade, je peux affirmer que Macron, ainsi que les deux autres prédécesseurs sont des représentants de l’antithèse et en temps que tels des ennemis de la morale, de la religion et de la politique.