Quelque chose ne tourne pas rond. Notre planète a perdu la tête, et nous en cherchons une autre où poser nos valises. La dernière écologie est comme une apocalypse joyeuse : nous savons bien que cette Terre est bleue comme une orange, que ses heures ont comptées, qu’il faut bien sauver les meubles et, accessoirement, les forêts.
Il y a deux manières de la voir, cette planète. Comme un globe suspendu dans l’univers ou comme une terre que l’on foule et que l’on cultive. Du point de vue extraterrestre (celui qui n’habite pas la Terre) ou du point de vue paysan (celui qui, au sens large, l’habite). Cette planète serait d’abord comme un bien à coloniser, à étudier, à explorer, à quitter : les films de science-fiction ou d’anticipation peuvent nous effrayer, mais ils sont comme les fictions utiles du XVIIIe siècle, qui appuient là où ça fait mal. L’extraterrestre remplace le « bon sauvage », et c’est un drôle de miroir que l’on tend aux Terriens. De même, le paysan, celui qui vit de la terre et qui essaye de la faire vivre, semble être devenu l’extraterrestre près de chez nous. Il est en tout cas le gardien de notre temple en ruine, celui qui nous rappelle le milieu naturel qui reste, malgré tout, le nôtre.
Du macrocosme au microcosme, de la Terre à la terre, de l’Étranger à l’étrange, Chic planète propose la guerre, et la réconciliation, de ces deux mondes – et pose une ultime question, d’une actualité brûlante : comment gouverner cette fichue planète ?
Source : https://www.forumdesimages.fr/les-programmes/chic-planete
Ne cherchez pas, je fais comme vous un copier coller honteux.
Recycler des vilaines manières et faire croire aux gens que vous allez les sauver me parait vraiment déplacé.
En même temps, vous m’avez bien cassé les couilles, bande de petites bites.
Trouver du pognon pour faire la guerre au lieu de faire la paix ne sera jamais négociable.
Je vois bien que vous n’avez toujours rien compris aux épreuves que nous sommes amenés à endurer. Et je doute que vos milliards puissent faire la différence.
Vivre éternellement dans un passé obsolète ne nous aide en rien.