A force de ne pas régler les affaires, de ne pas régler les dettes, de vivre dans l’espoir de l’oubli, se cacher pour continuer et accentuer les méfaits, tous les protagonistes concernés se justifient en prônant le libéralisme et leurs intentions de renouveau.
C’est une fuite perpétuelle en avant, ou le temps est leur allié, ou l’argent est leur bouclier.
Tous ces gens que les médias appellent les « puissants » ne sont en fait que des voleurs.
Sous prétexte d’optimisation fiscale, légale aux yeux de la loi, des milliards sont détournés de l’économie réelle. Ils privatisent des propriétés et construisent des murs. Ils détruisent la nature et bétonnent en abondance.
C’est là que la politique atteint ses limites. Les gilets jaunes l’ont bien compris.
Alors, quel avenir nous est garanti quand nous savons que la politique appliquée ne résoudra rien ?
Ils décident l’ordre et la justice mais nous précipitent dans le chaos.