Pour sauver la France au sein de l’Europe, le petit Napoléon III est à la recherche d’une main-d’œuvre peu chère et inépuisable pour satisfaire une croissance nécessaire vis à vis de ses partenaires européens.

L’esclavage étant aboli depuis peu, il faut réagir et il met alors en place le bagne en Guyane.

Pourquoi aller chercher des esclaves en Afrique, alors que la population française est suffisamment importante ?

Il lui suffira alors d’exploiter la misère des gens et d’envoyer par bateaux entiers des bagnards désignés par une justice si prompte à sauver les intérêts de la France.

Il fallait alors trouver de nouvelles idées napoléoniennes et autres excuses institutionnelles pour justifier son libéralisme autoritaire, et son socialisme utopique.

Le manque financier devait déjà être important à l’époque car initialement élu à la Présidence de la République, il se proclama empereur 4 ans plus tard.

La gouvernance ainsi constituée n’apporta à la France qu’un supplément de souffrances et de misères.

Dans cette soif de pouvoir et d’argent, le petit Napoléon n’obtiendra finalement que la guerre, la capitulation et finalement sa destitution.

La république renait alors mais au prix d’un affaiblissement de la France et de la perte de l’Alsace et de la Lorraine.

Il est quand même flagrant de constater que la politique contemporaine de notre pays s’accroche désespérément à une histoire dont les français se seraient bien passés.

De défaites en défaites, la dérive financière de la France est le résultat de banquiers plus soucieux de leurs avoirs que du destin de notre pays.

Vos histoires d’antisémitisme et de racisme ordinaire n’est que la conséquence d’une mauvaise gestion de vos affaires et certainement pas la sanction d’un peuple outragé.