Ils sont nombreux et déterminés ceux qui plaident pour la fin des temps.

Quand les sunnites écrasent leurs frères chiites, quand l’Ukraine veut se libérer de ses voisins, quand Israël veut récupérer définitivement les territoires limitrophes à son royaume au nom de sa propre sécurité, nous sommes en droit de considérer que cet état de faits ordonné par le très Grand ne durera pas.

Ce n’est pas une question de temps mais bel et bien une vision judaïque de l’état politique actuel.

Ils ne veulent pas d’un fils de lumière mais plutôt un fils des ténèbres pour les gouverner tous.

Ils pensent détenir la vérité, les territoires, le savoir et l’argent par une augmentation déraisonnable de leur dette.

Chez nous en France, ils nous annoncent encore 30 mois de restrictions et de prélèvements obligatoires pour le seul remboursement des intérêts.

Cette façon de gérer la politique est commune à toutes ces régions sous leur domination.

Savez-vous au moins comment nous en sommes arrivé à ce résultat ?

D’après leurs dires, nous vivons dans une crise financière inédite depuis la crise de 29, alors que les services financiers n’ont jamais été aussi rémunérateurs.

Ils débitent une théorie sur les aléas climatiques et sanitaires pour justifier leur mauvaise gestion.

Il veulent nous faire accepter une augmentation démesurée des assurances financières de manière à prévoir et mieux gérer une future chute de leur système.

Quand un ministre des finances décide de privilégier les grandes fortunes plutôt que le bon fonctionnement de notre état, au nom d’une unification financière mondiale, il n’est pas étonnant que l’état condamne ce personnage sinistre.

Ils veulent encore investir dans leur système branlant au nom du développement et de la réindustrialisation de notre pays.

Ils s’inquiètent de la baisse du tarif des produits pétroliers et veulent anticiper une baisse des recettes fiscales.

Le problème vient du fait qu’ils scindent la France en 2 catégories : les fortunés et patrons et les autres, de simples consommateurs.

Il n’est pas question pour eux que l’état accompagne dignement les citoyens dans un futur incertain.

Le ministre dans cette nouvelle politique est un simple instrument ou encore une simple clé permettant leur progression par l’endettement.

Mais alors, que va faire Macron si son jouet est cassé ?