C’est une parfaite dysgueusie que représente ce matriarcat.
Elles ne connaissent ni les produits, ni les usages mais espèrent tirer un maximum de profits du commerce passé.
Comme des chevaliers avares, les enfants évoluent dans un environnement empreint de rancunes et de nostalgie du temps passé.
Comment est il possible de supporter la volonté de ces femmes dont le seul but est de profiter sans travailler des hommes du passé ?
Faut il laisser faire et jouer le pion passé ?
La relation imparfaite et soumise à une époque aujourd’hui révolue prouve bien le décalage important et croissant de ces personnes, comme des prisonnières du passé.
C’est dommage de mépriser les gens qui n’ont aucun intérêt pour leurs affaires, tout ce qu’elles sont capables de dire, c’est qu’un jour un homme est passé.