L’introduction ministérielle est intéressante à partir du moment où une personnalité se dégage.
La démonstration à l’assemblée ce jour, n’a dégagé que des relents démagogiques.
Le nouvel homme de Macron au gouvernement n’a finalement qu’une crainte : l’ochlocratie, tout en revendiquant une certaine majorité confiante et une souveraineté européenne.
Il essaye de démontrer qu’il représente le peuple, il se décrédibilise aussitôt. Il part alors dans un catalogue de problèmes pensant noyer le poisson.
Cette broderie industrielle et artificielle se base sur 2017 comme année de référence, comme si le peuple n’existait pas auparavant et n’hésite pas à de nombreuses répétitions afin de monopoliser l’assemblée.
Beaucoup d’esbroufe et beaucoup d’argent à leur disposition pour un but important pour eux, se mettre hors d’atteinte du vrai peuple via l’armée sans se priver si nécessaire de nouveaux droits.
C’est clair, c’est le nouveau petit chien à Macron, sans aucun doute.