L’assemblée nationale, haut temple du grand blabla, nous offre en ce moment un spectacle honteux mais qui décrit bien notre situation actuelle.
Le diable absent de l’hémicycle, fait débattre ses pauvres damnés sur une mesure injuste et infondée : la réforme des retraites.
Selon Freud, « le diable n’est pas autre chose que l’incarnation des pulsions anales érotiques refoulées ».
C’est tout à fait cela.
Je parle du diable car il est le seul capable de nous propulser dans une spirale dantesque, juste pour couvrir ses méfaits.
Nous pouvons citer une très mauvaise gestion du budget de la France, au point de vouloir récupérer l’épargne des français pour son usage exclusif, une intégration forcée à un système économique européen afin de contre-balancer son propre déficit extérieur et enfin il faut le dire une volonté de domination sur l’ensemble des citoyens.
Les français ne souhaitent pas cette réforme des retraites et encore moins le fait du diable.
Nous voulons la retraite à 60 ans.