Quand j’entends ici et là que la religion n’est pas politique, je ne suis pas du tout d’accord.
Les principales places d’échanges commerciales et culturelles sont aujourd’hui muent que par une doctrine faussée.
Le meilleur exemple est l’assimilation immédiate des zones autonomes par des forces nouvelles et religieuses, forçant les autorités locales à intervenir.
Mais nous sommes tout de même en droit de se demander à qui profite ces situations.
En France, on nous a proclamé une néo-laïcité propulsée par des idées pro-judaïques, abandonnant largement les campagnes et ses habitants, laissant la place à des forces déjà utilisées pour envahir d’autres contrées étrangères.
Maintenant, ils réfutent toute implication dans la désertification économique et sociale et osent proposer une politique de main tendue, afin de parfaire leur avènement sur ses nouveaux territoires.
En Europe, la différence se caractérise essentiellement par une version protestante du christianisme originel, mais sont tout de même déjà assimilés aux pratiques universelles et œcuméniques.
Soit, au lieu de faire un raisonnement localisé sur une église, nous pouvons maintenant écrire la doctrine par continent. Le principe reste exactement le même et je ne vois que cela d’acceptable.