Après des années de propositions, de concertations et de mauvaises décisions, il est inévitable aujourd’hui d’expliquer la situation autre que d’une manière condensée.
Nous pouvons situer la première charge avec l’incident insolite de Tchernobil.
La domination mondiale, scientifique et hégémonique des états unis n’a pas suffit à détecter et à prêter assistance aux victimes des ces évènements.
Dans sa grande mansuétude et dans un soucis de réparation, la russie changea sa politique et souhaita discuter avec les européens, négocia activement (chute du mur de Berlin) et proposa même un attachement à la communauté.
En réponse à cette politique de main tendue, l’occident ignora tous les blocs et s’empressa d’accélérer la course économique et technologique.
Effet d’aubaine ou pure spéculation ?
Malheureusement pour nous, couteuses spéculations.
La technologie telle qu’elle nous est proposée n’a su développer que des supers structures spécifiquement américaines et asiatiques proposant des modèles de développement où le consommateur n’a plus d’intérêt.
Deuxième cataclysme planétaire ; nous partons maintenant pour Fukushima, lieu de tous les records. Accident encore pire que l’Ukraine.
A partir de ce moment, le rapport puissance économique et réalité économique bascula dans un abime sans fond.
Qu’on t’ils fait ces cons ? Rien du tout, « c’est nous qui détenons les capitaux » déclamèrent-ils.
Depuis le progrès est un luxe pour les vendeurs d’armes mais certainement pas pour l’humanité.