Depuis des décennies, de nombreuses entités sous forme de fondations, d’organisations représentatives et d’associations sont financées avec des fonds défiscalisés. Elles sont même parfois financées directement par le gouvernement.
Mieux que les banques, et autres organisations commerciales, ces associations permettent de détenir des fonds et de les utiliser comme bon leur chante dans le monde entier.
Encore mieux que le blanchiment d’argent, les devises peuvent quitter le pays et financer des projets hors de contrôle des juridictions du pays d’origine.
Ces montages financiers et juridiques sont toujours le fruit de partis politiques ou religieux soucieux de faire rayonner leurs idées au niveau international.
Malgré les lois sur le financement des partis politiques, et les nouvelles directives européennes, ces pratiques continuent à pourrir le débat démocratique.
Au delà des opinions politiques et religieuses, c’est cette défiance et cette impunité envers les citoyens qui caractérise le mieux leurs actions malhonnêtes.
Le politique n’apprend pas de ses fautes, le religieux s’enferme dans ses croyances.
Ils utilisent l’espace médiatique pour mettre en avant leur modernité et ne font passer que des discours rétrogrades et archaïques.
» En avant pour un printemps jaune avec de vrais résolutions citoyennes et pas cette bouillie médiatique. «