Selon notre soi disant Président élu démocratiquement, la France est en prise à un paradoxe.
Le pauvre petit décideur compte justifier sa vision de la politique par une pirouette philosophique.
Il est à la fois petit et grand, intelligent et ignare.
Par contre, il se garde bien de parler de sa vision purement comptable de la France.
Il faut rester vague et se projeter dans un futur indéfini.
Ce qu’il omet de parler est du déclin de notre pays trop longtemps aux mains de quelques familles plus préoccupées par leur compte en banque que de notre véritable destin commun.
Ils n’ont aucun scrupule à liquider nos forces de productions agricoles et industrielles.
Il est tellement plus facile de tout miser sur le luxe et le prestige.
Avec la complicité de toute la classe politique, il leur est aisé de faire pression sur nos institutions pour faire valoir leur action.
Nous pourrions comparer à un système mafieux et malhonnête la main mise de ce groupe d’individus. Et notre histoire contemporaine est loin de me contredire.
Ce qui me touche personnellement est la notion de temps. La persistance, l’entêtement et la volonté de durer. Faire croire que notre destin est commun.
Mais il existe maintenant une nouvelle dimension.
La régulation de ce système défaillant sera traité internationalement, intelligemment et avec justice.